En ces temps de suspens d’une grande partie de l’activité économique, en Suisse comme chez ses différents partenaires européens, il est rare que l’on ne pense pas à l’avenir avec une certaine inquiétude. Ceux qui ont mis de l’argent de côté au fil des années sont peut-être plus sereins que les autres, mais il faut reconnaître que, quelle que soit l’activité dans laquelle on travaille habituellement, les risques de récession existent. Ce qui est inédit, en cette période de pandémie de coronavirus, c’est que l’on n’est pas du tout en mesure d’anticiper, de prévoir quoi que ce soit. L’activité reprendra-t-elle véritablement avant l’été, ou alors bien après ? Personne n’est en mesure de le prédire. Alors l’épargne est plus importante que jamais pour les foyers suisses.
Le troisième pilier : un élément central
Aujourd’hui plus que jamais auparavant, ceux qui ont choisi d’épargner, dans le cadre du troisième pilier, ont fait le meilleur choix qu’il soit. Ils ont au moins l’assurance de pouvoir compter sur un subside particulier lorsqu’ils ne travailleront plus, ce qui ne manquera pas d’arriver, quel que soit le moment où l’activité globale aura repris son cours normal. Mais pour les autres, il n’est pas trop tard pour autant. En utilisant un calculateur de 3ème pilier ils le sauront. Il est en effet important de connaître en amont a priori le montant dont ils disposeront, une fois retraités.
Avoir de l’argent une fois retraité
Une fois que l’on ne travaille plus, on a de nouvelles envies, ce qui est bien normal. On souhaite réaliser certains rêves que l’activité professionnelle ne permettait pas de réaliser, en particulier celui de voyager à l’autre bout du monde. Mais ce genre d’activités nécessite des moyens financiers, que seuls les plus prévoyants ont entre les mains, c’est-à-dire ceux qui ont pris le soin de bien préparer leur troisième pilier, en ayant choisi de placer de l’argent pour cela.
